Bourges, le 7 avril. Dehors un soleil pale brille, mais le 22 Ouest reste sombre et froid, les spectateurs fatigues. L’apres-midi est dediee aux Inouis : les nouveaux talents deniches aux quatre coins de la France qui sont censes faire la musique de demain. Francois the Atlas Mountains, Christine the Queens, Hyphen Hyphen, ou Fakear ont un jour foule cette scene. Eddy de Pretto monte sur scene dans son uniforme habituel, accompagne d’un batteur et d’un pianiste, personne ne le connait. Et ca commence : des gestes aceres, des mots qui claquent, le sourire en coin transpirant entre les lignes d’un recit social balzacien de la vie parisienne.
Bourges, le 7 avril. Dehors un soleil pale brille, mais le 22 Ouest reste sombre et froid, les spectateurs fatigues. L’apres-midi est dediee aux Inouis : les nouveaux talents deniches aux quatre coins de la France qui sont censes faire la musique de demain. Francois the Atlas Mountains, Christine the Queens, Hyphen Hyphen, ou Fakear ont un jour foule cette scene. Eddy de Pretto monte sur scene dans son uniforme habituel, accompagne d’un batteur et d’un pianiste, personne ne le connait. Et ca commence : des gestes aceres, des mots qui claquent, le sourire en coin transpirant entre les lignes d’un recit social balzacien de la vie parisienne.